Voici mes quelques textes prévu pour des chansons, de la plus ancienne à la plus récente ce qui permet de sentir une petit évolution. Dur d'assumer ces chansons car elles représentent l’extrême de certaines pensées et ressenti profond que j'ai eu mais sans arrivé à en être fidèle complément. Sentiment donc de frustration et d'être à nue fasse à la critique.
Advita
Et si la conquête du pouvoir, commencer en nous
Imagines ton mental tel une entité, prisonnière, assoiffé pour te dominer
Imagines sa putain la colère, une vraie bombe nucléaire prête à t’exploser
Guerrier, de l’illusion
Maitre, en manipulation
Guidé par notre solitude, l’égo opère dans nos habitudes
Aveuglé par nos peurs, l’égo prend de l’ampleur
Car l’on craint de crever, mais l’on oublie d’exister
Liberté
celle de l’esprit, celle qui ne s’achète pas, celle pour la vie
Le premier crime de l’humanité, est le fruit d’une pensée
Observe ton esprit face à son envie, obstiné, acharné aux moyens infini
Observe son action petit à petit, t’enivrer te charmer, jusqu’à la folie
Il t’enseigne, le goût de juger.
Il t’isole, pour mieux t’apprivoiser
Ventriloque de l’esprit voisin, on en oublie presque nos points communs
Prisonnier de ses intérêts, on y récolte seulement les regrets
Réalité menottée, par les yeux du passé
Liberté
celle de l’esprit, celle qui ne s’achète pas, celle pour la vie
Et si la richesse de demain, serait pointée en nous
Fini l’impermanence, fini l’ignorance
Fini ce cercle sans fin, fini de subir le destin
Un combat contre le moi, un duel perpétuel
Un combat de tous les jours, épaulé par l’amour
Chaque instant nous sourit chaque maintenant et ici
Liberté
celle de l’esprit, celle qui ne s’achète pas, celle pour la vie
G.I.N.D
Depuis petit j'm'identifie
A la télé et ses conneries
Au schémas d’vie bien définie
Qu'la société nous a transmis
De la poudre aux yeux aux troupeaux de bœufs
Gaver à l'inutile et aux besoins futile
Promotion sur accumulation
Promotion sur manipulation
Normalité par addiction
S’habituer comme solution
Tous les week ends
Au Jack Daniels
Ton père s'déchaine
Sur ta mère
Elever à la comparaison
Leurs ingrédients est la division
Façonner à leur penser
Taillader pour la compétition
Conformer à leurs intérêts
Balancer dans cette illusion
Lâche un peu, tes croyances
Oubli un peu, ce que tu pense
La pollution de l’extérieur
Dévoile celle de notre intérieur
Ecorché
Menacé, peu à peu
On s’est construit un rôle
Enraciné, adopté pour
Le regard de l’autre
Elever à la récompense,
Pourrit à la punition
On se mutile, on se bousille,
A la poursuite de la perfection
Paralysie des émotions
Le sentiment devient tyran
Un héritage universel
Pour des milliers d’adhérents
Petit blessures aux grands bruler
Le croque mitaine aucun ne délaisse
L’inconscience à toute allure
Se repend comme la peste
J'avance et j'observe
J’avance et j’observe la mécanique humaine
Il y a que le malentendu qui divise nos chaines